“En Andalousie, presque tout le monde savait lire et écrire tandis que dans l’Europe chrétienne, les personnes les plus haut placées, à moins qu’elles n’appartinssent au clergé, ne le savaient pas. Bien que les écoles fussent bonnes et nombreuses, le calife fonda dans la capitale vingt-sept écoles pour les classes les plus pauvres. À l’imitation du calife, les princes et les nobles, les grands commerçants rassemblaient de grandes bibliothèques. Dans Cordoue même, il existait une vingtaine de bibliothèques où chacun pouvait se rendre pour lire ou consulter des livres.”